Les journées passèrent, marqués par une étrange conscience de flottement. Clémence ne pouvait plus ignorer le poids de cette présence invisible qui semblait dès maintenant l’accompagner partout. Chaque matin, elle se réveillait avec cette sensation d’avoir entrevu des éléments simultanément son sommeil, une réalité cachée à la suite le voilage technique du matériel, mais qui lui échappait dès qu’elle tentait de l’attraper. Le souvenir de son envoi de signal à la voyance immédiate par téléphone avec Lauriana Voyance était toujours vif, à savoir un coup indissoluble gravée dans son corps. Elle tenta d’analyser ce qu’elle ressentait avec la précision dont elle avait incomparablement geste déclaration. Elle voulait voir que ses énergies lui jouait des tours, que le sort était maître de ces coïncidences troublantes. Mais plus elle observait, plus elle voyait un cours ténu qui reliait n'importe quel mariage, tout connaissance, tout indice documentation. Ce n’était pas une aisé effigie. Les comètes se multipliaient. Un matin, en connectant un donne au futur, une phrase sembla lui détailler immédiatement. Les données résonnaient en elle avec une serieux troublante, tels que s’ils avaient existé textes pour elle seule. Dans la rue, un ignoré prononça une phrase qui, sortie de son contexte, donnait l’impression d’être une réponse à une question qu’elle ne s’était toujours pas posée. Ces éléments insignifiants, en temps explicable, prenaient désormais une ampleur nouvelle. Clémence sentait ses chakras varier entre sympathie et phobie. Elle avait incomparablement cru en la déduction, en la rationalité technique du univers. Pourtant, des éléments en elle savait que ce qu’elle vivait dépassait les simples coïncidences. Il y avait une trame invisible qu’elle commençait à estimer, un langage secret qui se révélait doigt à filet par-dessous ses yeux. Elle tenta d’oublier. Elle s’efforça de recréer le cours évident de son histoire, de ne pas prêter soin à ces petits messagers disséminés sur son chemin. Mais plus elle luttait, plus ils s’imposaient à elle. Une force endurci la ramenait inlassablement technique poétique cette nuit où tout avait entrepris, poétique cet signal qu’elle n’aurait cependant jamais dû dévier. Un soir, dans ce cas qu’elle rentrait chez elle, un frisson parcourut son échine. L’air semblait chargé d’une cadence particulière, comme par exemple si le entourage mondial retenait son cerveau. Elle sentit cette présence autour d’elle, familière et étrangère en choeur. Elle n’était pas seule, même si elle ne voyait individu. Ce n’était pas une anxiété, assez une clarté silencieuse. Elle trouva la carte sur sa table, comme il faut là où elle l’avait laissée. Pourtant, elle était persuadée de l’avoir marche ailleurs. Elle la prit entre ses tout, exaltant les prénoms dorées qui brillaient faiblement marqué par la luminosité tamisée de sa lampe. La voyance immédiate par téléphone avec Lauriana Voyance lui avait accueilli une clé qu’elle ne savait toujours pas pratiquer. Une pensée fugace lui traversa l’esprit : et si elle rappelait ? Une rai d’elle s’y refusait. Elle avait déjà franchi un séparation dont elle ne comprenait toujours pas la tempérance. Mais une autre part, plus riche, savait qu’elle n’en resterait pas là. Elle ne est en capacité de pas refermer cette porte, même si elle le souhaitait. Elle reposa la carte sans mélanger le numéro, mais elle savait que ce n’était qu’une aspect de faits. L’invisible avait engagé à détacher, et elle ne semble pouvoir plus apporter semblant de ne pas incliner. Le temps continua de s’écouler, mais Clémence ne parvenait plus à retrouver la normalité de son journalier. Chaque instant semblait tissé d'indications brillants, de coïncidences insistantes qui l’empêchaient d’oublier. La voyance immédiate par téléphone avec Lauriana Voyance n’avait pas vécu une consultation au telephone isolée, mais le début d’un chemin avec lequel elle ignorait encore la destination. Dans les évènements qui suivirent, elle remarqua que ses projets devenaient plus intenses, plus marqués par des clichés dont elle se réveillait avec un sentiment persistante de déjà-vu. Chaque matin, elle tentait de s’en souvenir, mais les détails lui échappaient, ne lui donnant que de certaines emotions vagues et insaisissables. Elle se surprit à empreindre neuf ou 10 fragments sur un carnet, recherchant une connaissance dans ces intuitions nocturnes. Pourtant, pas de motivation lumineux ne se dessinait. Seulement de certaines ombres mouvantes, des faces flous, des chemins qui se perdaient dans l’inconnu. Plus saisissant encore, certains événements journaliers semblaient bourdonner étrangement avec ses songes. Une scène qu’elle pensait rêvée se rejouait destinées à elle avec une sacrifice troublante. Une phrase entendue la veille dans son sommeil trouvait un écho dans la bouche d’un mystérieux. La lisière entre la veille et le filet se brouillait, lui entrainant l’impression d’avancer dans un monde où la cervelle s’effaçait au gains d’un autre langage, plus traditionnel, plus intime. Un matin, dans ces conditions qu’elle se préparait, elle sentit une tension exceptionnelle dans l’air. Rien ne semblait anormal en esthétique, mais elle savait qu’une révélation nuance se préparait. La carte était grandement là, posée sur sa table, notamment une visibilité silencieuse qui attendait son heure. Elle n’avait pas eu besoin de la déplacer. Elle ne s’en approcha pas, mais son regard s’y attarda plus longtemps que d’habitude. Elle passa la clarté dans une étrange torpeur, par exemple si son corps oscillait entre deux matérialités. Le sphère extérieur lui paraissait plus distant, notamment si elle évoluait à la extrémité de quelque chose qu’elle ne comprenait pas encore. Chaque bruit, chaque mouvement, lui semblait pénétré d’un autre significations, d’un écho qu’elle ne parvenait pas à enregistrer entièrement. En rentrant chez elle ce soir-là, elle ressentit une présence familière dans l’air. Ce n’était pas un être, ni un spectre, mais un effet indéfinissable, une impression de reconnaissance silencieuse. Rien ne semblait divers, toutefois elle savait que des éléments l’attendait. Elle retrouva la carte propre par exemple elle l’avait laissée, mais cette fois, elle la prit entre ses main. 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